Recherche
Tout comme la formation générale et spécialisée offerte par ORIAN, la recherche occupe une place substantielle au sein de l’organisation. Plusieurs des astrologues professionnels associés à ORIAN mènent des travaux de recherche théorique et pratique, que ce soient de type quantitatif ou qualitatif, des études de cas, de la recherche historique ou encore le développement d’outils pour la pratique de l’astrologie. ORIAN est aussi ouverte à ce qui se fait ailleurs et nous souhaitons promouvoir ce que des collègues de différents pays ont produit ou publié.
Recherche en cours
1- L’astrolologie et le Trouble déficitaire de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDAH)
Par Marie-Christiane Trudel, chercheure et formatrice
Présentation de la recherche
L’astro-psychologie, une discipline regroupant les notions d’astrologie et celles de la psychologie, offre une nouvelle perspective pour comprendre la psyché et les comportements humains. Cette nouvelle approche, qui a été popularisée par Dane Rudhyar, psychologue et astrologue du XXe siècle, sert à guider les personnes dans leur développement personnel. Plusieurs publications traitent des notions astrologiques en lien avec la psychologie humaine mais il existe très peu d’écrits concernant le TDAH, une problématique de santé affectant le développement de l’enfant.
Le taux de prévalence, uniforme à travers le monde occidental, est de 5% à 7% des enfants touchés par un TDAH (Polanczyk et al., Am J Psychatry 2007). Toutefois ce taux est beaucoup plus élevé au Québec avec 14,5% pour les 13-17 ans selon les statistiques de 2014-15 de l’Institut national d’excellence en santé et services sociaux du Québec (INESS).
Mon intérêt pour l’astro-psychologie et cette problématique québécoise m’ont incité à mettre en place un projet de recherche ayant comme objectif de relever les liens significatifs entre des facteurs astrologiques et le TDAH. Afin d’assurer la crédibilité de cette recherche, une banque importante de cas diagnostiqués médicalement sera constituée. Le but n’est pas de faire un diagnostic mais de relever des indicateurs astrologiques associés au TDAH et de permettre de déduire certaines pistes pour mieux gérer les défis personnels que cela représente.
2- Lire le ciel, écrire l’avenir: histoire et évolution de la pratique astrologique
Par Jacques Tondreau, astrologue et sociologue
Présentation de la recherche
Il existe une vaste littérature sur histoire de l’astrologie, depuis ses débuts jusqu’à nos jours. Beaucoup moins de références sont disponibles sur l’évolution de la pratique astrologique, telle que pratiquée par les astrologues eux-mêmes. Comment ces derniers exerçaient-ils dans le passé ? Quels outils utilisaient-ils ? Comment gagnaient-ils leur vie ? Quels étaient les contextes politiques, sociaux, techniques et économiques dans lesquels ils devaient travailler ? Comment se percevaient-ils en tant qu’astrologues ? Comment les percevait-on dans leur société respective ?
Les éléments tirés de l’histoire devraient nous permettre de mieux anticiper l’avenir de cette pratique astrologique. En effet, les défis auxquels sont confrontés les astrologues contemporains ne sont pas très différents de ceux rencontrés par leurs homologues babyloniens, hellénistiques ou médiévaux.
Un cadre d’analyse (voir schéma plus bas) va nous permettre de circonscrire l’évolution et l’avenir de la pratique astrologique, dans ses différents contextes de mise en œuvre. Les principaux indicateurs utilisés pour identifier cette pratique sont : 1) l’identité professionnelle; 2) les pratiques effectives; 3) les conditions de travail; 4) la reconnaissance sociale.
Cette recherche est fondée sur des bases sociologiques et historiques. Elle vise à accroître notre connaissance scientifique de la pratique astrologique. Elle vise également à fournir aux astrologues une idée plus élaborée de l’évolution de leur pratique, et qui sait, peut-être aussi leur fournir des éléments pour le développement d’une identité professionnelle plus forte et plus positive concernant leur pratique.
Documentation associée
Cadre pour l’analyse de la pratique astrologique (schéma)
Framework for analyzing astrological practice (diagram)
Bibliographie scientifique sur l’astrologie (édition 2024)
Lire le ciel, écrire l’avenir (présentation PowerPoint sur l’histoire de l’astrologie, 2023)
Les horoscopes historiques : Antiquité et Moyen Âge (présentation PowerPoint, février 2024)
Articles associés
Professionnaliser la pratique astrologique : une bonne idée ?
3- La tête et le coeur dans les étoiles
Une histoire d’Orian et de l’astrologie au Québec pour le 50e anniversaire de l’organisation (1978-2028)
Par Jacques Tondreau, astrologue et sociologue, avec la collaboration de Jean-René Le Brodeur et Marie-Christiane Trudel
Créée en 1978, l’Organisation de recherches interactives en astrologie naturelle (ORIAN) fêtera son 50ᵉ anniversaire en 2028, un jalon important qui mérite d’être souligné de façon particulière. Pour préparer cet événement, un vaste travail de collecte, d’analyse et d’interprétation de données a été entrepris à partir de diverses sources : 1) entrevues avec d’anciens membres d’ORIAN; 2) documentation administratifs de l’organisation; 3) articles parus dans la revue Astrospirale; 4) recherches approfondies dans les revues et journaux conservés à la Bibliothèque et Archives nationales du Québec (BAnQ); 5) ouvrages de littérature astrologique; 6) publications issues de la littérature académique; 7) recherches iconographiques.
Présentation de la recherche
Les organisations prennent vie dans des besoins, nourries par la volonté, la détermination et la persévérance. Bien souvent, ceux qui choisissent de s’unir pressentent que l’effort collectif ouvre des horizons plus vastes et plus féconds que l’isolement. Un proverbe africain, dit-on, témoigne de cette sagesse : « Seul, on va plus vite ; ensemble, on va plus loin. ». Dans le registre de la compétition sportive, le légendaire Michael Jordan allait dans le même sens : « Le talent gagne des matchs ; le travail d’équipe et l’intelligence gagnent des championnats. » C’est là une conviction que les fondateurs et continuateurs d’ORIAN ont su comprendre et inscrire au cœur de leur projet.
Dans le vaste univers astrologique, où les associations et les organisations naissent et disparaissent souvent comme des étoiles filantes, rares sont celles qui traversent les décennies. L’atteinte du cap symbolique des cinquante ans par ORIAN s’impose ainsi comme un modèle de résilience et de pérennité organisationnelle.
L’histoire que nous relaterons ici s’attache à replacer l’émergence d’ORIAN dans son contexte originel, à retracer les chemins sinueux de son développement, à mettre en lumière les figures qui ont façonné son évolution et à explorer les défis surmontés ainsi que les réalisations marquantes qui ont jalonné son parcours à travers le temps.
Par ailleurs, nous nous intéresserons aux dimensions astrologiques associées à cette évolution, en examinant les corrélations potentielles entre les cycles astrologiques et les dynamiques organisationnelles. Enfin, une prospective basée sur les révolutions solaires et les transits astrologiques permettra d’esquisser des tendances et des projections pour l’avenir à court et long terme.
Comme continuateurs dans l’évolution d’ORIAN, nous avons le devoir de nous assurer que la mémoire de l’organisation ne tombe pas dans l’oubli. Nous avons aussi le devoir d’honorer les personnes, toutes bénévoles, qui ont assuré la pérennité d’ORIAN, parfois face à des bourrasques déstabilisantes ou contre des déferlantes frontales, pour utiliser des analogies tirées de la météorologie et de la navigation.
Document associé
Recherche terminée
1- Les devises municipales et leurs composantes astrologiques
Par Jean-René Le Brodeur, chercheur
Synthèse de la recherche
Dès leur fondation, la plupart des municipalités du Québec adoptèrent une devise afin de propulser leur destinée en fonction de leurs aspirations. Si nous convenons qu’une érection civile constitue un moment fondateur, un examen plus poussé du toponyme municipal et de la devise permet d’établir un lien entre ces trois composantes énergétiques. Pour démontrer l’existence de tels liens, nous avons étudié les devises de 17 municipalités composant la Municipalité régionale de comté (MRC) de Maskinongé au Québec et de quelques-unes jouxtant le territoire ciblé. Les conclusions sont probantes : la devise, le toponyme et le Ciel fondateur d’une municipalité comportent des éléments de grande similarité dans la mesure où les réseaux analogiques sont en étroite connexion.
La devise se reflète dans la destinée de la municipalité. Et le toponyme engendre la devise sous la pression dynamique du Ciel de l’érection civile. Ainsi les trois composantes énergétiques basales d’une municipalité sont fortement intriquées, à un point tel que dans la vie même du patron d’une localité – le Saint par exemple – nous trouvons aussi des correspondances en rapport avec l’histoire et les orientations de la municipalité. En nommant un lieu, on sollicite l’influence qui correspond à ce nom. S’il s’agit d’un toponyme référant à un saint patron, on cherchera à donner à la localité tous les attributs supérieurs observés chez de dernier en vue de faciliter l’élévation spirituelle du territoire. Cette quête d’émulation concerne bon nombre de localité et se voit renforcée par l’apport de la devise. Notre recherche novatrice appartient au domaine fascinant de l’astrologie territoriale, car la portée d’un toponyme, couplée à la devise, est mesurable dans tous les Ciels d’érection civile.
Documentation associé
2- La Dominante Planétaire Ajustée
Par Vincent Godbout et Vital Coron, chercheurs
Résumé
Lors de l’analyse d’un thème natal, les astrologues sont souvent frappés par certaines planètes, auxquelles ils accordent plus d’importance. De nombreux auteurs d’astrologie revendiquent des règles traditionnelles de ce qu’ils appellent la « dominance », c’est-à-dire des placements dans un thème natal où les influences astrologiques des planètes sont les plus fortes. La dominance planétaire serait le premier facteur de pouvoir, celui qui a la priorité et le plus d’influence, ce qui nous permet d’augmenter considérablement la précision de l’interprétation astrologique.Il existe plusieurs méthodes pour déterminer la dominance planétaire. Mais aucune d’entre elles n’a été testée à grande échelle et validée.
Notre objectif était d’identifier la combinaison de facteurs astrologiques permettant d’arriver à la dominance biographique uniquement à partir des informations contenues dans le thème astrologique. Nous avons donc conçu un protocole permettant d’établir les planètes dominantes à partir des biographies en utilisant des correspondances automatisées entre les cartes entières et les biographies, une méthode qui a déjà fait ses preuves (Godbout, 2020).
Pour ce faire, nous avons fait jouer à chacune des dix planètes le rôle de dominante à tour de rôle ; puis, en examinant chacun des dix portraits ainsi obtenus dans le logiciel Mastro, nous avons identifié la dominante optimale en choisissant le portrait qui correspondait le mieux à la biographie. Ces planètes dominantes biographiques sont devenues des cibles dont on a vérifié la concordance avec les dominances planétaires calculées selon des règles déterminées uniquement à partir du thème astrologique. Pour 189 sujets, si l’on compare les planètes dominantes selon notre modèle de Dominance Planétaire Ajustée avec les planètes dominantes selon les biographies, le taux de réussite obtenu ne pourrait être atteint par pur hasard que deux fois sur un million (p < 2.08E-06).
Documentation associée
Calcul de la Dominante Planétaire Ajustée
3- Un test d’appariement automatisé
Comparaison de thèmes astrologiques avec des biographies
Par Vincent Godbout, BA., BSc.
Résumé
Le but de cette recherche est de tester dans quelle mesure les mots-clés astrologiques pour les caractéristiques des cartes natales correspondent aux mots-clés de caractère-trait dans des biographies de notabilités. Il utilise des processus automatisés qui rendent le test plus objectif que tous les tests d’appariement précédents (Carlson) qui se sont appuyés sur l’interprétation humaine. Dans l’association des biographies à leurs thèmes (N = 73), le test correspondant atteint des résultats très significatifs (p < 0.0005). Avoir un test d’appariement avec de si bons résultats permet une étude plus approfondie des questions techniques de l’astrologie. Par exemple, le test échoue lorsque le zodiaque tropical est remplacé par le zodiaque sidéral. L’ajustement de la taille des orbes des aspects produit de meilleurs résultats lorsque vous utilisez les tailles proches de celles recommandées par la Faculté d’études astrologiques.
4- Évaluation de la valeur des mi-points
Amélioration d’un test automatisé d’appariement de thèmes astrologiques
Par Vincent Godbout, BA., BSc.
Résumé
Les résultats d’un test automatisé d’appariement, dans lequel 73 thèmes astrologiques ont été associés aux biographies de leurs détenteurs, indiquent que l’effet d’appariement est plus marqué lorsque les interprétations des mi-points sont conservées que lorsqu’elles sont exclues. Cet effet est toutefois considérablement renforcé (p < 2E-09) lorsqu’on ne retient que les aspects de mi-points considérés comme forts (0°, 180° et 90°), en excluant ceux jugés faibles (45° et 135°).
Ce résultat apporte un appui à l’approche dite du « thème dans sa globalité », selon laquelle une technique spécifique est plus aisément étudiée en observant son effet global sur l’ensemble du thème, plutôt qu’en procédant à une analyse facteur par facteur, comme l’ont fait la quasi-totalité des études antérieures.
5- Modèle prédictif de la mortalité
Construction et validation à l’aide des progressions secondaires
Par Vincent Godbout, BA., BSc.
Résumé
La présente étude vise à explorer un lien prédictif potentiel entre les progressions astrologiques secondaires et le mois du décès, en identifiant une combinaison pondérée de facteurs astrologiques susceptibles d’indiquer la survenue de la mort. Un échantillon de 650 personnes décédées a été analysé, avec des progressions secondaires calculées à la date du décès ainsi que pour 500 mois précédant celui-ci. Les 650 observations correspondant à des mois de décès ont été comparées à un groupe témoin constitué de 325 000 mois sans décès.
L’échantillon d’étude a servi à élaborer un modèle prédictif basé sur une régression, utilisant 72 mots-clés astrologiques spécifiques à l’événement, plutôt que les facteurs astrologiques conventionnels. Pour chaque mois, le modèle calcule des scores dérivés des progressions secondaires, de manière à maximiser l’écart moyen de score entre les 650 mois de décès et les 325 000 mois témoins. Afin de valider ce modèle, un échantillon de test indépendant composé de mois de décès provenant de 203 sujets a été analysé. Le modèle testé sur cet échantillon de validation démontre une forte significativité (p < 1.51E-08) avec une taille d’effet modérée (r = 0.3759).
6- Une validation du zodiaque tropical ?
Intérêt pour l’astrologie en lien avec les signes solaires, les éléments, les axes et les saisons
Par Vincent Godbout, BA., BSc. et Hubert Brun, D.E.S.S.
Résumé
Cette étude examine la validité du zodiaque tropical à travers trois approches complémentaires. La première s’appuie sur le concept de zodiaque photopériodique, fondé sur les variations saisonnières de la lumière. Les signes dits « personnels » (du Bélier à la Vierge) sont associés à l’arc diurne (jours plus longs), tandis que les signes « interpersonnels » (de la Balance aux Poissons) correspondent à l’arc nocturne (nuits plus longues). La deuxième approche repose sur l’analyse de 313 368 ventes de livres d’astrologie, révélant des associations significatives entre les signes solaires et l’intérêt pour l’astrologie (p < E-6). Des écarts notables apparaissent entre signes personnels et interpersonnels (p < 0,009), entre les signes associés aux saisons, et selon les éléments : les signes d’eau suscitent davantage d’intérêt que ceux de terre (p < 0,008). Des asymétries systématiques sont également observées entre signes opposés sur les axes zodiacaux (p < 0,007). Enfin, une enquête menée auprès de 70 astrologues montre que leurs préférences en matière de signes corrèlent fortement avec les données de ventes (r = 0,7343 ; p < 0,0005).
Ces résultats suggèrent une convergence entre les préférences humaines, les cycles saisonniers et la structure du zodiaque tropical.
7- Faut-il inverser le zodiaque dans l’hémisphère Sud ?
Par Vincent Godbout, BA., BSc. et Hubert Brun, D.E.S.S.
Résumé
L’idée d’une inversion des signes astrologiques dans l’hémisphère Sud, motivée par les différences saisonnières, reste une question controversée. Pour explorer cette hypothèse, nous avons mené une étude comparative entre deux groupes de notabilités : 68 nées dans l’hémisphère Sud, et 73 dans l’hémisphère Nord. Nous avons comparé les mots-clés astrologiques des thèmes natals (avec et sans inversion des signes) à des profils biographiques contenant environ 150 traits de personnalité par sujet. Les résultats montrent que l’inversion améliore significativement la correspondance dans 71 % des cas dans l’hémisphère Sud, contre 35,6 % dans l’hémisphère Nord. Un test de comparaison des proportions confirme que cette différence est hautement significative (p ≈ 1,6 × 10⁻⁵ ; h = 0,716). Nos conclusions suggèrent que le zodiaque pourrait être partiellement assujetti au photopériodisme, remettant en question sa prétendue universalité.
8- La préséance des rayons dans l’étude du Ciel natal
Par Jean-René Le Brodeur, chercheur
Résumé
«Homme, connais-toi, toi-même», disaient les Grecs. «Astrologue, efforce-toi de connaître ta ligne de rayons», propose le chercheur. Privilégiant la voie de la synthèse, l’astrologue démontre la pertinence de mettre en corrélation la toile subtile de nos motivations par le biais de la science des rayons. Et notamment par l’analyse des deux rayons majeurs : celui de l’âme et de la personnalité.
Dans ce même ordre d’idées, l’astrologue démontre l’importance d’identifier les rayons des lignées paternelles et maternelles, susceptibles de colorer le parcours de tous les descendants. En effet, aucun Ciel individuel ne peut s’affranchir des patrons d’énergies nationales et familiales.
Jean-René Le Brodeur nous livre à travers sa recherche une étude détaillée du sixième rayon et des principaux mirages qui lui sont associés et ce, en recourant à une autobiographie rédigée sans complaisance. Abondamment illustré, cet ouvrage (puisque c’en est un) entraîne le lecteur dans la mouvance secrète de la force propulsive de nos deux rayons majeurs. C’est à tout le moins, dans le domaine de la recherche astrologique, une avenue très novatrice et prometteuse.
Veille sur la recherche en astrologie
L’almanach planétaire
Par Carol Meyer, chercheur et astrologue professionnel
Depuis 2002, je produis un agenda planétaire pour aider les utilisateurs à mieux se connaître et se comprendre ou à organiser leur temps en harmonie avec les énergies planétaires. Pour se faire une idée de son contenu, consulter le site http://carolmeyer.org/. Sur le même site, je publie un bulletin d’information à chaque lunaison qui étudie l’atmosphère astrale du mois. On y analyse les principaux événements astrologiques et le thème de la nouvelle et de la pleine lune du mois; parfois aussi de l’ingrès saisonnier.
L’astrolabe interactif
Par Alexandre Boxer, physicien et historien des sciences
Un astrolabe est une magnifique carte mathématique de l’ancien cosmos centré sur la Terre. L’instrument montre l’univers sphérique aplati sur son plan médian (l’équateur) selon une transformation mathématique appelée projection stéréographique. Le résultat est une vue divine de la création depuis le pôle nord de l’univers. Les astrolabes étaient les instruments indispensables des astronomes et des astrologues depuis l’Antiquité gréco-romaine jusqu’à la révolution scientifique. Pour accéder au site (en anglais): https://alexboxer.com/astrolabe/